on voit aussi les jardins des maisons de la rue de la république, jardins tout en longueur du fait de l'étroitesse de chaque façade des maisons de ce coron, mes grands parents maternels ont habité cette rue au 199 jusque fin des années 80, pour ma part, nous habitions la rue Courbet, juste derrière.

Moi, j’habitais au 253 boulevard de la république, juste en face du puis en fer ( le 200 comme on l’appelait, celui en béton était le 300). C’est à partir de 13 ans et demi que j’ai commencé à passer au dessus du grillage, puis je traversais les voies. C’était interdit et dangereux car à l’époque il y avait beaucoup de trains qui circulaient sur ces deux voies. Cétait plus rapide pour moi pour aller travailler au triage avec les cul à gaillettes. C’est comme cela que l’on appelait les filles qui triaient les gaillettes (pour ceux qui ne savent pas ce que c’est qu’une gaillette, c’est un bloc de charbon plus ou moins gros) nous enlevions les pierres et laissions passer le charbon. Cela fait 56 ans. Ca ne me rajeunit pas mais cela fait du bien de l’écrire et bravo pour ce blog. Savary

Bonjour. Je suis la petite fille des Delengaigne. Ils habitaient rue de la justice. Cela me rappelle de très bons souvenirs. De nos jours, ma mère habite dans la rue Spa au même endroit, qu'ils habitaient. Le monde est petit!

merci pour ses photos ca me rappel ma jeunesse sur le coté de la marie coté ecole des filles il y avait le commissariat de police merci pour ses photos meme si vous debutez je vous dit chapeau bas monsieur bravo

et le pôlicier s'appeler grand fusil ( surnon )

: "ch'Grand fusil" ¨¦tait son surnom, il faut dire que celui-ci, responsable du poste de police,d¨¦passait d'une t¨ºt au moins la plupart des gens...mais"Fusil" ¨¦tait bien son nom de famille.(pr¨¦destin¨¦ pour un policier!). Non moins c¨¦l¨¨bre, son ¨¦quipier,un certain Victor Leborgne:mais n'ayez crainte ce Leborgne voyait clair tr¨¨s rapidement m¨ºme dans les affaires les plus sombres...(notre "Colombo"local). Pour ceux qui peuvent s'en souvenir,ces deux l§Ñ avaient une passion commune: les"Panhard".Ils poss¨¦daient chacun la leur, et combien de discussions passionn¨¦es ont-ils eues sur le zinc entre midi et deux dans le caf¨¦ de mes parents...

Une toute petite correction à apporter au commentaire concernant la voiture de Monsieur BECUE.... car il y a un "E" à la fin de BECUE. J'étais à l'école primaire "cité du 21" à HARNES dans la classe de Monsieur BECUE (Ch'met BECUE)et son fils Jean Luc était mon copain. Quand mon père a été muté à la cockerie de Vendin, j'y ai retrouvé Jean Luc dont le père était devenu Directeur de l'école. En classe lorsqu'il épelait son nom, Jean Luc qui ne manquait pas d'humour, aimait préciser "BECUE avec un n'E au "CU".... Si tu me lis Jean Luc j'espère que tu ne m'en voudras pas. NOTA : Il n'a jamais fait ce coup la dans la classe de son père à Harnes, il faut dire qu'à l'époque on avait 10 ans.... Et même si on avait été plus vieux... on se tenait bien devant Monsieur BECUE, qui a toujours dans mon souvenir une place de choix. Merci "Chefcruchot" pour ton excellent blog qui fait remonter à la surface des souvenirs que l'on croyait perdus.

Rénové en 1991 il fait maintenant partie des objets d'arts classés répertoriés à la Préfecture du Pas de Calais

bonsoir s est super bien fait vos recherche j adore sé vieille image trop beau bone soirée

Bonjour. Je viens de découvrir le blog ; Très bien. Ancien Vendinois, je regarderai avec attention. Mais je le découvre grâce à ma sœur qui habite Nice!!