Vue d'ensemble des fours à coke après 1945. Photo prise des corons de la rue du 1er Mai. Les sirènes de la cokerie ,qui allaient à 07 h - 11h - 12h et 16 h, marquaient pour les ouvriers le début et la fin du travail. Les ménagères n'en finissaient plus de lutter contre la poussière qui s'infiltraient partout
Commentaire de Domi (11/12/2007 22:28) :
Quel travail! c'est formidable ce que tu as réuni! Je me souviens de
ma mère qui guettait le sens du vent pour savoir si on allait avoir plus ou
moins de poussière, difficile de faire sécher le linge!
Commentaire de Cora (12/12/2007 12:34) :
c'est vrai ma mère aussi guettait le sens du vent pour la poussière
super le blog. Merci que de souvenir
Commentaire de Frederic N (01/03/2008 15:10) :
Quand je pense aussi que personne ne voulait s'installer à Vendin, à
cause de la mauvaise réputation, poussière, bruit, pollution, et
qu'aujourd'hui les prix de l'immobilier flambent....